Des souris à pattes blanches ont été expérimentalement infectés en laboratoire par Borrelia burgdorferi , par inoculation intrapéritonéale ou sous-cutanée ou par morsure de tique. À l’automne, elle accumule des réserves de nourriture en prévision de l’hiver. Mais La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Nom scientifique : Apodemus sylvaticus: Poids : 15 à 30 g: Longueur : 9,5 à 11 cm: Famille : Muridae: Ordre : Rongeurs: Longévité : 18 à 20 mois : Caractéristique communes aux rongeurs. & Timm, R. (2008). Ce petit rongeur est présent dans les forêts et boisés, parfois très abondant de l'Ontario, au Québec, au Labrador et dans les provinces maritimes (à l'exception de Terre-Neuve) au nord, ainsi que dans le sud-ouest des États-Unis et jusqu'au Mexique[9]. À l'automne, la souris sylvestre envahit parfois les bâtiments qui sont situés près d'un champ ou d'un boisé. De son côté, la souris commune se reconnait facilement à ses grandes oreilles. La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Les souris semblent affectées (arthrites) par la co-infection Borrelia + Babesia[21], mais des souris à pattes blanches expérimentalement infectées (par piqure de tique, de manière à mimer au mieux l'infection naturelle) produisent des anticorps contre B. burgdorferi, sans taux plus élevé de globules blancs (par rapport aux souris non infectées)[6]. Puis, à l’aide de séquences d’ADN mitochondrial, je comparerai la phylogéographie des deux principales espèces de souris au Québec, la souris à pattes blanches et la souris sylvestre (P. maniculatus). Tout le contenu © Le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Ormiston, J.L. Les souris (Le terme souris est un nom vernaculaire ambigu qui peut désigner, pour les francophones, avant...) de ce genre sont appelées Souris de chasse ou Souris à pattes blanches.. Certaines espèces sont susceptibles de transporter des hantavirus. C’est l’une des trois espèces (outre le rat surmulot et le rat noir) qui vit en étroite relation avec l’homme. Levine, M.L. La souris sylvestre est souvent confondu avec le mulot, la souris à pattes blanches et la souris sylvestre à pattes blanches. Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. Hansen et S.W. Schrumpf et R.H. Karstens, «, C.G. Elle possède un museau assez pointu, des pattes fines et des oreilles largement développées par rapport à sa taille. Les autres petits rongeurs avec lesquels on pourrait la confondre sont des espèces indigèn… Souris sylvestre, souris à pattes blanches et souris grise commune, certaines espèces de souris sont particulièrement invasives et représentent une nuisance dès lors qu’elles colonisent et prolifèrent au sein de nos habitations et locaux publics. A titre d'exemple, on a évalué que les coyotes du Parc national de Yellowstone consommaient annuellement 76,2% de la biomasse de rongeurs du genre microtus disponible (= 32,4% de leur alimentation globale)[15],[16]. La biologiste Virginie Millien, directrice de la Réserve naturelle Gault de l’Université McGill située à environ 40 kilomètres à l’est de Montréal, dans la vallée du Saint-Laurent, étudie depuis 10 ans deux espèces semblables et coexistantes : la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Des variations spatiotemporelles de risques ont aussi été reliées aux glandaies. La souris sylvestre (Deer Mice) et la souris grise à pattes blanches sont toutes deux des souris sauvages indigènes en Amérique du Nord. Peromyscus attwateri J. La reforestation (forêts dites « de transition »), quand elle se fait dans les conditions évoquées ci-dessus (artificielle, avec fragmentation des forêts et absence de grands prédateurs ou pullulation de micromammifères ou de gibier) semble parfois pouvoir favoriser certaines zoonoses, dont la maladie de Lyme[25]. Contrairement à sa cousine, qui est uniformément grise, la souris sylvestre a une fourrure bicolore qui tire sur le brun-rouge au gris pâle avec un tâche blanche … La recherche a porté pendant dix ans sur deux espèces communes à l'est de l?Amérique du Nord, la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Cependant cette légère immunisation n'a pas empêché la transmission des spirochètes inoculées par des tiques infectées à des souris préalablement exposées à des tiques non infectées[23]. 1983. Il se pourrait même que la tique ait développé une relation symbiotique avec la souris à patte blanche car les mâles fortement parasités survivent mieux que ceux qui ne le sont pas. Son pelage est gris à la racine, tandis que la pointe des poils de son ventre, de ses flancs, de la face inférieure de sa queue ainsi que ses pattes sont de couleur blanche. Souris à pattes blanches et souris sylvestres - Prévention des dommages et méthodes de contrôle - Ressources naturelles - Nouveau-Brunswick Brownstein, J. S., Skelly, D. K., Holford, T. R., & Fish, D. (2005). Comme tous les rongeurs, cette souris peut être parasitée (jusqu'à 270 tiques trouvées sur une seule souris). Lindsay, I.K. Ce qui me fait croire que ce n’est pas une souris sylvestre (Peromyscus maniculatus, deer mouse), outre la couleur cannelle qu’on voit, c’est que sa queue est moins longue que son corps, tandis que pour la souris sylvestre, elle est aussi longue ou même plus. On les retrouve surtout dans les sous-bois, les champs, etc.» Les souris à pattes blanches, présentes en Amérique du Nord, peuvent être infestées par plus de 200 tiques. ... La souris sylvestre construit son nid à partir de divers matériaux qu'elle trouve. Les virus en cause sont le virus de Black Canal Creek (BCCV), le virus New York (NYV), le Sin nombre virus (SNV), et certains autres membres du genre hantavirus qui sont endémiques aux États-Unis et au Canada3. Or cette souris se nourrit notamment de glands et les glandaies favorisent provisoirement leur dynamique de population[19],[20]. Retrieved 05 February 2010. Habitat La souris à pattes blanches vit où le couvert végétal est dense et elle peut s’installer dans tous les types de bâtiments. La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Le mulot. Peromyscus est un genre de rongeurs de la famille des Muridés. Ces deux dernières espèces sont indigènes au Québec. La souris commune (Mus musculus) , quant à, elle est une espèce introduite. sc.) Wolff, «, R.S. Terwilliger, G.M. On reconnaît la souris commune par son pelage teinté de brun ocre et de gris foncé ou chamois sur la partie ventrale. Ils ont pour cela comparé l'infectivité de borrélies inoculées par des tiques à des souris à pattes blanches (et à des souris de laboratoire) préalablement infestées à plusieurs reprises par des tiques non infectées). Tous droits réservés. Zegarra-Moro, J. Bjornsson, E.K. Elle présente également cinq paires de mamelles, trois p… Les marsupiaux et D'autres études montreront qu'en Amérique du Nord, cette souris semble être ou est récemment devenue l'un des principaux « réservoirs », de Borrelia burgdorferi parasite spirochète responsable de la maladie de Lyme. Jones, R.S. Dans son habitats cette souris coexiste avec des cervidés qui semblent être l'hôte préféré des tiques adultes Ixodes dammini. Comme une autre souris (Peromyscus maniculatus) qui lui ressemble, cette espèce joue aussi un rôle de «réservoir» d'hantavirus, virus qui cause des maladies graves à mortelles chez l'homme[24]. Moro, O.L. identifier les souris sylvestres (Peromyscus maniculatus) et les souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus). Le taux de bactérie spirochètes a ensuite été mesuré dans la vessie, la rate, les reins, le sang et l'urine de ces souris[18]. L'infection par le spirochète B. burgdorferi aurait donc peu d'impact sur la santé de la souris à pattes blanches[6] (elle pourrait donc être porteur sain). Cette bactérie leur est transmise par les tique Ixodes scapularis et Ixodes dammini, notamment dans les forêts écologiquement fragmentées par les routes[3],[11] (le réchauffement climatique[12] et le degré de fragmentation semble même expliquer les variations introforestières de risque du risque infectieux pour la maladie de Lyme [13]). Coleman, J.P. Hanrahan et J.L. On sait que de manière générale et théorique, une réaction immunitaire dirigée vers un parasite vecteur de pathogènes peut dans certains cas fortement diminuer le risque écoépidémiologique (par exemple un lapin souvent piqué par des tiques non-infectées y devient hypersensible (allergique), mais a ensuite moins de chance d'être victime d'une tularémie[22]. L'adulte mesure entre 15 et 20,5 cm pour un poids allant de 15 à 25 g. Sa queue mesure de 6,5 à 9,5 cm[7]. « La souris à pattes blanches est en mode migration-colonisation. En 1988 on ne disposait pas encore de test pour détecter les borrélies, mais il a été confirmé que la mise en culture de tissus de vessie prélevés sur cette souris est très efficace pour isoler B. burgdorferi et que la culture de cet organe peut être utile pour des recherches de spirochètes chez les rongeurs sauvages[18]. A. Allen, 1895 Parmi les hypothèses explicatives avancées figure l'idée que les souris infestées de tiques pourraient adopter un comportement qui les protégerait mieux de la prédation (elles prendraient moins de risques). L'étude a conclu que cette espèce de souris tolère remarquablement bien les tiques, qui pourtant sont parfois nombreuses à les infester (jusqu'à 270 tiques). Les biologistes utilisent plutôt les termes souris commune (mus musculus), qui est une espèce introduite, ou encore souris sylvestre (peromyscus maniculatus) et aussi souris à pattes blanches (peromyscus leucopus). (1988), Schwan TG, Kime KK, Schrumpf ME, Coe JE et al (1989), Schwanz LE, Voordouw MJ, Brisson D& Ostfeld RS (2011). Son poids est de 12 à 30 grammes. (2001), Schwan, TG, Burgdorfer, W, Schrumpf, ME, Karstens, RH. L’extrémité de … Ces cervidés peuvent être infectés par des tiques préalablement infectées (à l'état de larves) par des souris. Schwan, W. Burgdorfer, M.E. (2004), Brunner JL, LoGiudice K & Ostfeld RS (2008), Burgess EC, French JrJB & Gendron-Fitzpatrick A. E.M. Bosler, B.G. IUCN Red List of Threatened Species. MUSTELIDAE Loutre de rivière Par ailleurs, en nombre moins conséquent, mais toujours relativement invasives, nous distinguons la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Ostfeld, C.D. URSIDAE Ours noir . Allan, B. F., Keesing, F., & Ostfeld, R. S. (2003). En … Le Syndrome pulmonaire à Hantavirus (HPS) est l'un des deux syndromes potentiellement mortels dus à une zoonose provoquée par une espèce d'hantavirus2. La fragmentation des forêts par l'Homme favorise en Amérique du Nord cette espèce. Elles ne semblent en outre pas affaiblies (Cf. Elle pourrait notamment être impliquée dans la diffusion de maladies graves, telles que ; Peut être à cause du réchauffement climatique, son aire de répartition semble se modifier et remonter vers le nord au détriment de la souris sylvestre (Peromyscus maniculatus),, ce qui pourrait amener de nouvelles maladies zoonotiques au Canada (L'espèce est déjà commune dans le sud du Québec, au sud du Saint-Laurent principalement et tend à remonter vers le nord ; des analyses génétiques permettront de suivre et comprendre son évolution au Canada[10]), Au milieu des années 1980, dans la zone côtière du Massachusetts une étude[2] montre que toutes les souris à pattes blanches piégées étaient porteuses de la maladie de Lyme. PROCYONIDAE Raton laveur . Elle est soupçonnée de jouer un rôle majeur dans l'extension de l'épidémie de Maladie de Lyme en tant que porteur sain[6] et pourrait être impliquée dans la diffusion d'autres maladies graves. C'est dans les tissus de la vessie (mais jamais dans l'urine) que les spirochètes ont été le plus densément trouvés (94 %), suivi par le rein (75 %), la rate (61 %), et le sang (13 %). nécessaire de procéder à des analyses d’ADN afin de 2 Atlas des micromammifères confirmer l’identification d’espèces voisines très sem-blables telles la souris sylvestre (Peromyscus maniculatus) et la souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus). Benach, «, T.G. Les souris femelles donnent naissance à une portée de six à huit souriceaux et peuvent avoir jusqu’à huit … La recherche a porté pendant dix ans sur deux espèces communes à l'est de l'Amérique du Nord, la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Surgeoner, S.A. McEwan et G. Douglas Campbell, «, L.E. Phylogéographie comparée de la souris à pattes blanches et de la souris sylvestre, deux vecteurs de la maladie de Lyme au Québec Par Jessica Fiset Département de sciences biologiques Faculté des arts et des sciences Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M. Sous sa forme blanche (albinos), elle constitue l’animal de laboratoire le plus utilisé. La souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus) est un petit rongeur granivore d'Amérique du Nord. Il faut surveiller à l’automne, la souris sylvestre qui est très présente dans les bâtiments près d’un champ. (2012) avec la rareté du Coyote et du renardf se montrant selon eux de solides prédicteurs des cas de maladie de Lyme dans l'est de l'Amérique du Nord, plus que la densité de cervidés [14]. La souris commune adulte pèse de 10 à 20 grammes, les plus grosses pesant parfois 50 g, et mesure jusqu’à 10 cm avec autant de longueur de queue, recouverte d’écailles cornées, disposées en anneaux parsemés çà et là de petits poils. Les souris parasitées survivent paradoxalement aussi longtemps que les autres, peut-être parce que c'est au stade larvaire que les tiques recherchent ces souris, en ne prélevant alors que très peu de sang. Moody, G.A. La souris à pattes blanches migre au rythme de 11 kilomètres par an. Effets (paradoxaux ?) En Amérique du Nord, ce morcellement favorise la souris à pattes blanches, car plus le paysage est fragmenté par des routes, moins les prédateurs (par exemple les loups, lynx, coyotes, renards et rapaces) de cette souris sont présents comment l'on d'abord noté Levi et al. On remarque une nette séparation entre le ventre blanc et le dos plus foncé. Barker, G.A. Vivant en milieu urbain, la souris commune est reconnaissable à ses grandes oreilles et à son pelage brun clair ou gris foncé avec un ventre plus pâle. (1991), Bunikis J, Tsao J, Luke CJ, Luna MG & al. Souris à pattes blanches, hôte majeur des spirochètes causant la maladie de Lyme, « malgré ce risque entomologique plus élevé, l'incidence humaine de la maladie de Lyme est plus faible dans des contextes fragmentés, ce qui suggère que le risque entomologique n'est pas le moteur critique des infections humaines (...) Une compréhension complète de l'influence de la fragmentation du paysage permettra d'améliorer la cartographie des risques et la gestion environnementale potentielle de la maladie de Lyme », K.D. Canham, K. Oggenfuss, R.J. Winchcombe RJ et F. Keesing, «, M.H. Barthold, «, J.F. La souris à pattes blanches peut être facilement confondue avec la souris sylvestre. Des rongeurs spécifiques sont les principaux hôtes des hantavirus, … Le morcellement des paysages module la densité en tiques, en hôtes mammifères et la composition des cortèges d'espèces. Les auteurs en concluent que la souris à pattes blanches est dans cette région un réservoir essentiel des spirochètes responsables de la maladie de Lyme. Cette espèce de rongeur est brune ou grise. La souris sylvestre a le ventre et les pattes blanches alors que le reste son corps est brunâtre ou grisâtre. Contrairement au jeune rat, la souris a un museau plutôt pointu, des pattes plus petites et des oreilles bien développées. CANIDAE Loup gris Renard roux . La souris sylvestre et la souris commune sont faciles à identifier. On a montré (en laboratoire, par des inoculations expérimentales[1] et dans la nature) dans les années 1980-1990 qu'elle est un réservoir pour la bactérie responsable de la maladie de Lyme en forte extension aux États-Unis[2],[3],[4],[5]. La souris sylvestre est de couleur brune sur le dos, avec des pattes et un ventre blancs et une queue bicolore. Wilson et A. Spielman A, «, J.G.Donahue, J. Piesman et A. Spielman, «, L.R. test de la course dans une roue). Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Richard, E.M. Schauber et J.O. Ostfeld, M.P. Ostfeld, «. La souris à pattes blanches; La souris-moissonneuse; La souris sylvestre; La souris de Sitka; La souris à sauterelles; Si vous soupçonnez la présence de souris dans votre maison, il s’agit probablement de la souris grise, aussi appelée souris commune. Cette souris est soupçonnée de jouer un rôle majeur d'espèce-réservoir de certains pathogènes pouvant toucher l'Homme et divers animaux domestiques. Cette souris est soupçonnée de jouer un rôle majeur d'espèce-réservoir de certains pathogènes pouvant toucher l'Homme et divers animaux domestiques. DIPODIDAE Souris sauteuse des bois Souris sauteuse des champs . Il pourrait aussi y avoir un biais d'interprétation : il y aurait simplement moins de prédateurs (et donc moins de risque de prédation) dans les zones plus infestées, ou ce surparasitage indiquerait que les souris vivent dans des zones plus favorables à la fois aux souris et aux tiques (ex : microhabitats plus enherbés où les souris peuvent mieux se cacher de leurs prédateurs). Les souris sylvestres ont le dos gris, le ventre et les pattes blanches et une queue bicolore. - Sylvestre - Des cascades - Souris de sitka - Souris moissonneuse - Souris à pattes blanches: VS. Traité des mammifères du Canada 1. Dans les climats nordiques et en présence de prédateurs naturels plus abondants, l'espérance de vie moyenne est de 12 à 24 mois[8]. La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. « Peromyscus leucopus ». Des chercheurs se sont demandé si la souris pouvait s'immuniser contre les piqures de tiques Ixodes ou contre leurs effets. Ces deux espèces de souris sont morphologiquement très semblables. Les patterns de prévalence du spirochète relevés dans les forêts de Long Island suggèrent que les cerfs et les souris jouent (au moins dans cette région) conjointement un rôle de réservoirs[17]. Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. Pour ce qui est de la souris sylvestre, elle est vraisemblablement similaire à sa cousine, la souris domestique, en ce qui attrait à la taille. Schwanz, M.J. Voordouw, D. Brisson et R.S. Les scientifiques constatent que plus la forêt est fragmentée par des routes, moins les prédateurs des micromammifères sont présents, plus les hommes (chasseurs notamment) pénètrent facilement la forêt et plus ces souris sont nombreuses ; et plus elles sont nombreuses à être infectées par des borrélies ; et plus les tiques portées par les souris sont également nombreuses et plus fréquemment infectées[3], ce qui favorise la diffusion de l'épidémie. Forest fragmentation predicts local scale heterogeneity of Lyme disease risk. Une étude du Cary Institute of Ecosystem Studies de Millbrook (New York) a fait récemment le point sur 16 ans de suivi de souris infestées par des tiques en s'intéressant à l'impact des tiques sur la santé et la survie des souris, à partir de 5.587 historiques de capture de souris à pattes blanches faites de 1995 à 2011. À l’automne, la souris sylvestre envahit parfois les bâtiments qui sont situés près d’un champ ou d’un boisé. Or, très abondantes, elles sont aussi l'hôte sur lesquels la nymphe et larve de la tique vectrice Ixodes dammini se nourrit le plus fréquemment (la plupart des tiques immatures I. dammini semblent s'attacher à des souris à pattes blanches). Linzey, A.V., Matson, J. Liste des espèces. ERETHIZONTIDAE Porc-épic d'Amérique . Les résultats ont montré que les nymphes de tiques se gorgent facilement de sang sur des souris préalablement exposées à des tiques non infectées, mais avec un succès d'alimentation qui a progressivement diminué. La Souris sylvestre (Peromyscus maniculatus) est une SOURIS typique à queue moyennement longue, à grandes oreilles, aux yeux proéminents et au nez pointu couvert de vibrisses.Ses parties supérieures sont grises ou brunes, selon l'âge et la sous-espèce, et ses parties inférieures sont blanches. Souris à pattes blanches Souris sylvestre . Matuschka FR, «, La maladie de Lyme progresse avec les souris à pattes blanches, Effect of forest fragmentation on Lyme disease risk, Coyotes, red foxes, and the prevalence of Lyme disease, Hantavirus Pulmonary Syndrome — United States: Updated Recommendations for Risk Reduction, domaine du sujet de l'article dans lequel ils apparaissent, The urinary bladder, a consistent source of Borrelia burgdorferi in experimentally infected white-footed mice ( Peromyscus leucopus), Borrelia burgdorferi has minimal impact on the Lyme disease reservoir host Peromyscus leucopus, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Souris_à_pattes_blanches&oldid=178217992, Taxobox utilisant une classification non précisée, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Anderson JF, Johnson RC, Magnarelli LA (1987), Anita Rogic, Nathalie Tessier, Pierre Legendre, François-Joseph Lapointe, Virginie Millien (2013), Barthold, SW, Persing, DH, Armstrong, AL, Peeples, RA. La souris sylvestre. Version 2009.2. International Union for Conservation of Nature. Hofmeister, et al., «, D. Richter, A. Spielman et F.R. Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. Rapport présenté à la Société de la faune et des parcs du Québec par l'Université de Montréal, 6 p. VAN ZYLL de JONG, C.G. La taille de l'animal a aussi été évoquée : les souris plus grosses tout en étant plus parasitées auraient néanmoins plus de chances de survie. On la confond souvent avec la souris sylvestre, Peromyscus maniculatus qui lui ressemble à plusieurs égards. Éducation et Développement de la petite enfance, Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Ressources naturelles et Développement de l’énergie, Bureau du défenseur du consommateur en matière d'assurances, Le Bureau du commissaire à l’intégrité, Environnement et planification des terres, Prévention des dommages et méthodes de contrôle, Une construction à l'épreuve des rongeurs empêche les souris d'envahir les édifices et autres structures, Pour ne pas que les souris s'attaquent aux semences de jardin, mettez de la toile métallique (mailles de 1/4 po [0,6 cm]) ou un revêtement protecteur semblable, La nourriture laissée dans des cabanes ou d'autres bâtiments rarement utilisés doit être conservée dans des contenants à l'épreuve des rongeurs, Dans les bâtiments rarement utilisés, il faut ranger les coussins, tiroirs, etc., de manière à réduire les endroits propices pour des nids, Trappes automatiques permettant plusieurs captures, Nourriture de remplacement : des expériences laissent croire que la distribution de graines de tournesol diminuerait sensiblement la consommation de semences de conifères dans les nouvelles plantations forestières, bien que l'on n'ait pas poursuivi les essais jusqu'à la régénération de la forêt. (1990), Goodwin BJ, Ostfeld RS & Schauber EM (2001), Hofmeister EK, Ellis BA, Glass GE & Childs JE (1999), Horka H, Cerna-kyckovaa K, Kallova A & Kopecky J (2009), Martin LB, Weil ZM, Kuhlman JR & Nelson RJ (2006), Ostfeld RS, Schauber EM, Canham CD, Keesing F & al. La dernière modification de cette page a été faite le 30 décembre 2020 à 18:13. Leurs yeux et leurs oreilles réputés "attrayants" sont plus grands que ceux des souris domestiques. La souris commune se reconnaît à son pelage brun ocre et gris foncé, plus clair sur la partie ventrale. Oecologia, 146(3), 469-475. La durée de vie maximale serait de 96 mois environ, mais l'espérance de vie moyenne des individus de cette espèce est de 45,5 mois pour les femelles et 47,5 pour les mâles. de la maladie de Lyme sur la souris à patte blanches La souris sylvestre s’est elle aussi métamorphosée physiquement de façon similaire à sa congénère à pattes blanches en à peine un demi-siècle, a découvert Mme Millien.

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