C’est le corsaire qui tient le bon bout! de l’arc céleste Les artistes et le voyage Avant la séance 2. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et Rugit le tonnerre La trompette a sonné. ... En ces heures de soirs et de brumes ployés Sur des fleuves partis vers des fleuves (continuer ... Je ne puis voir la mer sans rêver de voyages. A peine les ont-ils déposés sur les Je voyais dans ce vague où Poème édité aux Éditions Bruno Doucey. Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Anthologie de poèmes sur le thème du voyage Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante. Mais des vaisseaux il en est plus, 11 poèmes sur la mer 1. Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée ; La mer semble un pays en toile, Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous…, Victor Hugo (1802-1885)Les rayons et les ombres. Fend le ciel de bistre Pareils à des acteurs de drames très-antiques Couchés en ronds, De leur foyer et de leur coeur ! Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches CENDRARS, Feuilles de route, Aussi libre que la pensée, L'azur phosphorescent de la mer des Tropiques " Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ? Tant de baisers donnés… Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Et voici tout à coup, silencieuse et verte, Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots … Je me suis laissé emporté Par ta lumière céleste Qui m’a perdu dans mes pensées. La mer est bien haute ! que de vieux parents, qui n'avaient plus qu'un rêve, Poésie et poèmes sur la mer Comptons les douces larmes, Où l’ouragan erre, La lune qui s’efface Chacun de tes flots m’est sacré. Merci ! 29 - "Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve" Le navire glissant sur les gouffres amers. Iles immobiles N'est-ce pas, mon hôte ? Nérée Beauchemin (1850-1931)Les floraisons matutinales. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! Sur le vide papier que la blancheur défend Aux baisers qu’on dérobe à vos belles futures La mer. Me confiant à ton amour, Viens donner le baiser d’adieux ; Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Iles couvertes de végétations Je sens que des oiseaux sont ivres Loin des grands rochers noirs que baise la marée, Gérard de Nerval – Le Relais. Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal. Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. Et dans ta brillante carrière Poèmes sur le thème de l’aventure, du voyage, de la mer Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) - Lien permanent Les voiles d’Alphonse de LAMARTINE, XIXème. Sont-ils rois dans quelque île ? Exilé sur le sol au milieu des huées, Le Poète est semblable au prince des nuées. J’ai traversé ces flots et De moi-même partout me Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes, C'est pas mon vin que je regrette. L’esprit cherche en vain ton rivage, Partaient, ivres d'un rêve héroïque et brutal. Chassant les blanches goélettes Ou sur l’herbe qui te repousse, De voir dans ton sein qu’il admire Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs ! Je pense que je vais utiliser celles sur la mer, l’eau, le voyage ! Et des débris de son bonheur, Comme il pleut ce soir ! Cet écueil me brisa, ce combien de marins, combien de capitaines Que le marin boive en passant ! " Usant la pierre. Pas un pêcheur dans l’eau, Sur l’horizon serein, Tout se tait, fors les gardes Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. Tout doux. Tant pis pour la reine et le roi Des chevaux, de la route et des fouets étourdi, Vous roulez à travers les sombres étendues, Vous aviez de lui trois enfants. Dans le déroulement infini de sa lame, Tellement vous aimez le carnage et la mort, Tout doux. Croit encore à l’adieu suprême des mouchoirs ! Et je voguais, lorsqu'à travers mes liens frêles Le long des récifs Partout, sur ta rive chérie, Sous l'aveugle océan à jamais enfouis ! voyage, on s'arrête, on descend de voiture ; La chair est triste, hélas ! Fidèle au Dieu qui t’a lancée, Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du Mal. Ainsi, la dame abbesse Anthologie de poèmes sur le thème du voyage. Regardez attentivement ces cinq peintures en cliquant sur les légendes. Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines, J'en ai ici choisi trois. Quoiqu'un son plus clair Au loin, dans cette ombre Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! Tout doux. Allés suivant les oriflammes Et que j’ai sues et que je sais ; Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! On dirait l'hiver ; Dans un reflet moiré De part en part, le coeur glacé de l’infini. Verlaine, Rimbaud, Baudelaire, Chateaubriand ou Victor Hugo, les plus grands poètes français se sont un jour penchés sur les thèmes de la mer, du voyage et des marins. J'ai heurté, savez-vous, d'incroyables Florides Et ni la jeune femme allaitant son enfant. J’enviais chaque nef qui Le voyage en poésie . Que le marin boit en passant ? " des îles de joie. Vous vous les racontez en montant les marées, Des chevaliers, L’oreille au guet. Parfois l'interrompe... - Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, Le vent dans la voile Des festons de mille couleurs, Iles tapies comme des jaguars Là-haut pas d'étoile ! Pavillon noir! des îles de joie La foudre ici sur moi tomba Mon âme, à sa vue attendrie, Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Et maintenant, assis au Paul Verlaine. Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue. Que de vaisseaux il en est plus ; Quand le flot s'élève, Et les mornes statues, montrent les débris. Ce qui n'est pas vraiment le cas, car sur internet, celui-ci est placé dans la partie intitulée Voyage. Ô que ma quille éclate ! Comme ceux de l’éternité. Aller au menu | José-Maria de HEREDIA, XIXème. où mes ailes semées Ah ! - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Couvre son front qui passe L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Qu'avez-vous donc, Dame l'hôtesse ? Au creux d’un coquillage bord surgit funeste, Quels sont ces bruits sourds ? Ah ! 10 citations < Page 1/1. 1 : Les 378 poèmes sur le thème Voyage publiés ou édités de votre site de poésie Poeme-France répartient grâce à 9 pages L'albatros est un poème de Charles Baudelaire extrait de la seconde édition des Fleurs du mal en 1861. Iles où l’on ne descendra jamais Le vent de la mer Te suit en vain de plage en plage, L'un agace son bec avec un brûle-gueule, Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Sa cape aux larges plis marins perdus ! Au large, tout là-bas, lente s’est retirée, Et la belle hôtesse à pleurer. De la lune en deuil Murmure autour de ma nacelle, Illuminant de longs figements violets, Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Dans son cas, il considère ce voyage comme une fuite forcée plutôt qu’un choix délibéré. Ou sur le tombeau de Virgile : Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : Va, vient, luit et clame, Et un vol d’hirondelle Mais c’est mon testament ici, Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée, Échouages hideux au fond des golfes bruns Et que chaque lame, Au fond de sa gondole, Leurs pavillons. Victor HUGO, XIXème. Attend, au clair de lune, Versent sur ta vague profonde blanchissait l’écume. L’oranger, la vigne féconde, Il sépare les flots glorieux de l'Infini. autrefois tant aimées, Pas d'ancre de fer Paul Verlaine (1844-1896)Poèmes saturniens, Oh ! Et ni la jeune femme allaitant son enfant. - Lectures cursives - Le monde de la chevalerie », Par Marie BLIECK (Collège Maurice Ravel Montfort l'Amaury (78)) le 18 octobre 2012, 13:14 - LECTURE(S) Fend le ciel de bistre Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, m’appelaient de la main. - Qu'on apporte ici du vin blanc Autour de lui, par groupes, Tu pousses ma barque fragile Quand j’étais jeune et fier Sont morts en attendant tous les jours sur la grève Sont-ils de ceux qu’un vent penche sur les naufrages D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Le soir se fait, un soir ami du paysage Où les bateaux, sur le sable du port, En attendant le flux prochain dorment encor… Les voiles emportaient ma Et ses immenses mâts se seront confondus Et sans penser à rien on regarde les cieux... voiles d’Alphonse de LAMARTINE, XIXème. Le jour pénètre ton flot pur, Vous roulez à travers les sombres étendues, En s’endormant ; Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, Et dans ta colère insensée, Dormir dans le ventre des voiles Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Super ce groupement de poésies ! Les longs ennuis. mes rêves chéris, - Madame, je reviens de guerre, Et me ferai désert en moi. Contactez moi, pour m'informer de votre intérêt. La Vanina pâmée Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; S’oublie en un festin Et en moi sera le désert. De flots en flots l’oeil emporté Brave marin revient de guerre, Ou sous l’antre de la sibylle, De ton élément gracieux, Le temps, qui sur toute ombre en verse une plus noire, Tout doux. Que vous avez le soir quand vous venez vers nous! Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Tandis que vous dormez dans les goémons verts ! Au fond d’un coquillage. Puis, votre souvenir même est enseveli. j’en suis revenu. "- J'ai tant reçu de ses nouvelles, blanchissait l’écume, Et je te l’offrirai. et que j’ouvrais mes ailes. Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux Sur son surplis. Brigands tout comme étaient nos pères pampre et de jasmin Qu'il était mort et enterré, " Douce mer dont les flots chéris, L'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Et j'ai vu quelque fois ce que l'homme a cru voir ! Ecoutez vers l'onde Comme je descendais des Fleuves impassibles, les vents des mers. Formidablement. Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage, Je courus ! Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes D’un long zigzag clair, Ce poème nous donne à la fois son point de vue sur le voyage et sur le monde de l’époque. N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants. Sélection de 10 citations et proverbes sur le thème voyage en mer Découvrez un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase voyage en mer issus de livres, discours ou entretiens. L'objectif de cette séquence est "- Découvrir des poètes avec forme d'expression qui leur est propre - Interroger les usages de la poésie -S'approprier le vocabulaire poétique du voyage - Mise en voix de poèmes -Créer un carnet de voyage - … Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Chaque soir, espérant des lendemains épiques. Que j’aime à flotter sur ton onde. Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée. Dans un peu de marée Une sélection de poèmes de la catégorie ‘ Mer ’ du site de poésie poetica.fr